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Perdu lors du ratissage, deux elements RDF viennent d'etre capturés. Une jeune fille qui dit qu'elle est venue du rwanda et a été recruté par le major Nzenze. Aussi ce Garçon visiblement fatigué dit avoir été recruté par ruse au motif qu'il allait trouver un emploi en RDC. Il est originaire de l'Ouganda. Ils viennent de tombé dans le filet des resistants de L'Auto defense. Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur ce lien. Abonnez-vous et aimé la page  https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Soit sur  isinfiniment.blogspot.com

Perdu lors du ratissage, deux elements RDF viennent d'etre capturés. Une jeune fille qui dit qu'elle est venue du rwanda et a été recruté par le major Nzenze. Aussi ce Garçon visiblement fatigué dit avoir été recruté par ruse au motif qu'il allait trouver un emploi en RDC. Il est originaire de l'Ouganda. Ils viennent de tombé dans le filet des resistants de L'Auto defense. Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur ce lien. Abonnez-vous et aimé la page  https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Soit sur  isinfiniment.blogspot.com

Les Officiers rwandais membres de l'Etat-Major de la Force Régionale de la Communauté des Etats de l'Afrique de l'Est ont été enjoins de de quitter le sol congolais, a déclaré le Général-Major Sylvain Ekenge Bomusa Efomi, porte-parole de l’Armée. « Pour des raisons sécuritaires, la République Démocratique du Congo a enjoint le Commandant de la Force Régionale des Etats de l'Afrique de l'Est de rapatrier dans leur pays les officiers rwandais membres du Quartier Général de la Force basés à Goma », a ajouté porte-parole de l’Armée. D’après la même source, le Rwanda ne s’est pas fait prier: « Ces derniers ont déjà quitté le sol congolais et regagné le Rwanda. Suite à cette décision, le Rwanda a rappelé tous ses officiers faisant partie de tous les mécanismes régionaux basés en République Démocratique du Congo ». La veille, les Forces Armées de la RDC (FARDC) avaient fait état des renseignements rapportant « la présence aujourd'hui dans le MASISI d'un corps expé

Le mouvement citoyen LUCHA a barricadé quelques artères de la ville de Beni ce lundi matin, 30 janvier, réclamant le départ du maire de la ville qu’il juge « incompétent ». Quelques heures après, les forces de l'ordre ont dégagé les voies, permettant ainsi la reprise des activités socio-économiques dans cette ville du Nord-Kivu. Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur ce lien. abonnez-vous et aimé  https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Soit sur  isinfiniment@gmail.com

Le mouvement citoyen LUCHA a barricadé quelques artères de la ville de Beni ce lundi matin, 30 janvier, réclamant le départ du maire de la ville qu’il juge « incompétent ». Quelques heures après, les forces de l'ordre ont dégagé les voies, permettant ainsi la reprise des activités socio-économiques dans cette ville du Nord-Kivu. Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur ce lien. abonnez-vous et aimé  https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Soit sur  isinfiniment@gmail.com

Le mouvement citoyen LUCHA a barricadé quelques artères de la ville de Beni ce lundi matin, 30 janvier, réclamant le départ du maire de la ville qu’il juge « incompétent ». Quelques heures après, les forces de l'ordre ont dégagé les voies, permettant ainsi la reprise des activités socio-économiques dans cette ville du Nord-Kivu.

Trois radios locales qui émettent dans l’agglomération de Mweso, dans le territoire de Masisi, sont contraintes de fermer à cause des menaces qu’elles reçoivent de la part des rebelles du M23. Depuis quatre jours, la Radio communautaire de Mweso, (RCM), la Radio communautaire pour la paix des Bashali(RCPB), et la Radio CORAKI FM de Kitshanga n’émettent plus. Selon un des responsables de ces médias, au regard de ces menaces, « Ils ont jugé bon de se protéger et protéger les équipements et matériels ». D’après lui, cette situation se vit depuis la prise de Kitshanga par le M23 : « Les journalistes, nous vivons dans la clandestinité. Il n’y a pas moyen de travailler. On a fermé les matériels ; parce qu’on a reçu plusieurs menaces de la part du M23 qui voulait s’attaquer aux journalistes et aux différentes radios. Et là, on s’est dit, on ferme d’abord les activités ». Les responsables de ces medias plaident auprès de la MONUSCO pour l’évacuation des journalistes qui vivent actuellement en

Des centaines de déplacés de Masisi affluent, depuis quelques jours, vers l’ancien site de Bulengo, au quartier Lac Vert, abritant la concession de l’Institut supérieur des techniques appliquées (ISTA)/Goma (Nord-Kivu). Cet ancien site n’est pas encore aménagé et ne possède pas de latrines et n’est pas alimenté en eau potable. Ces déplacés dont le nombre exact n’est pas encore connu ont fui d’intenses combats ayant opposé ces derniers jours les rebelles du M23 aux FARDC dans la zone de Kitshanga. Ces derniers arrivent par vague et sont installés dans cet ancien site de Bulengo qui a accueilli à l’époque du CNDP en 2007 et 2008 plusieurs ménages de déplacés. A l’heure actuelle, ce site se retrouve à moins de 100 mètres de la concession de l’ISTA /Goma. En raison de la proximité de ce site, qui n’est pas encore aménagé, les étudiants dénoncent non seulement la perturbation du climat d’étude et craignent la propagation des maladies hydriques. Pour sa part, le maire de Goma, commissaire

Dans l’environnement de l’occupation de la cité de Kitshanga, dans le Masisi (Nord-Kivu) par les rebelles du M23 et leurs alliés rwandais, les personnes vivant avec handicap appellent à l’aide. Elles sollicitent une aide des organismes internationaux pour les secourir et les sortir de ce « gouffre ». « Nous, personnes vivant avec handicap se trouvant à Kitshanga, depuis la prise de la cité par les rebelles du M23, nous sommes coincées dans nos maisons, sans assistance. A leur arrivée, les membres de nos familles ont pris fuite, et nous ont laissés seuls. Maintenant avec la présence de ces rebelles dans la cité, nos familiers et nos amis qui nous portaient assistance, sont tous partis, fuyant les balles des rebelles », témoigne Jason Kabera, président des personnes vivant avec handicap à Kitshanga. Ces personnes vulnérables affirment n’avoir aucune assistance et être loin des membres de leurs familles. « On est seuls et la situation devient encore plus difficile. Nous demandons aux org

Les activités socio-économiques de base sont paralysées, depuis jeudi 26 janvier, à Kitshanga, territoire de Masisi (Nord-Kivu), après l’incursion des rebelles du M23. La cité est déserte, en dépit de multiples appels des rebelles aux habitants à regagner leurs domiciles. Des sources locales rapportent que les écoles, les marchés, les boutiques, les magasins restent fermés ainsi que les radios communautaires locales. Kitshanga, agglomération d’environ 56 000 âmes, est devenue "une cité fantôme, où il n’y a ni chien, ni poule", indiquent les mêmes sources. Les rebelles ne sont plus visibles et toutes les rues de la cité sont désertes. L’ensemble de six structures médicales ne fonctionnent plus et le personnel soignant est en fuite. Les habitants qui n’ont pas pu quitter la cité de Kitshanga sont coincés avec la peur au ventre dans les différents endroits et redoutent les actes de représailles du M23. Les quelques responsables des services publics de Kitshanga seraient recherch

Les FARDC ont réussi, en l’espace d’une semaine, à libérer plus de 30 ex-otages de mains des rebelles ADF dans le territoire de Mambasa (Ituri). Selon la Nouvelle société civile de cette entité, l’armée a relevé ce défi lors des opérations qu’elle a lancées contre ces rebelles dans la forêt proche de Masiliko, chefferie de Babila Bakwanza. Son coordonnateur, John Vuleveryo a indiqué que l’un des bastions des ADF a été également détruit par l’armée. Il demande ainsi aux forces loyalistes de maintenir la pression sur ces rebelles pour améliorer la sécurité dans cette région : « Ils ont été présentés à trois devant l’Administrateur du territoire et la population de Mambasa. Il y a un qui dit avoir déjà passé deux mois avec les rebelles ADF et l’autre a été récupéré à 27 km sur la route Mambasa-Komanda. Le samedi dernier, 24 autres otages ont été récupérés des mains des ADF au niveau de Masiliko ». Pour John Vuleveryo, la libération de ces ex-otages prouve à suffisance que les FARDC sont e

Les FARDC ont affirmé, vendredi 27 janvier, s’être retirées de Kitshanga, territoire de Masisi (Nord-Kivu) pour protéger les populations civiles. Le porte-parole du gouverneur militaire du Nord-Kivu et des opérations Sokola 2, lieutenant-colonel Njike Kaiko a fait cette mise au point au lendemain de la chute de cette cité entre les mains des rebelles: « Les FARDC, en tant qu’armée nationale, professionnelle et surtout respectueuse du droit international humanitaire, nous nous sommes tactiquement retirés de la cité de Kitshanga afin d’en tirer ces génocidaires en profondeur et ainsi éviter le pire à nos populations ». Il a assuré que l’armée se réorganise et met tout en œuvre pour déloger l’ennemi (NDLR : les rebelles du M23) et le faire reculer d’où il est venu. « Cela fait trois jours, que l’armée rwandaise et ses différents alliés cherchaient à nous imposer une manœuvre en pleine cité de Kitshanga, en procédant à des tirs aveugles aux mortiers 120 et mortiers 82, causant ainsi de

Après que les M23 aient récupéré la cité de kitchanga dans le territoiredeMasisi, les groupes d’autodéfense APCLS de Janvier Karairi et NDC Rénové de Guidon SHIMWERAYI jurent de venir libérer Kitchanga. » Nous jurons venir libérer la terre des nos parents «  Ces deux groupes d’autodéfense viennent de reprendre les affrontements depuis 20h pour tenter de reconquérir Kitchanga qui est à présent aux mains du M23.  Signalons qu’un canal des négociations vient d’être ouvert entre la force de EAC et les terroristes RDF/M23 pour essayer d’épargner les affrontements dans la ville de Goma et le M23 exige à la force régionale de l’EAC de demander aux FARDC de quitter la ville de Goma et que cette dernière soit sous contrôle de EAC. Et maintenant les enchères seront plus élevées avec cette victoire, c’est ce qu’il fallait empêcher coûte que coûte mais dommage.   Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur lien Aimé et abonné vous  https://www.facebook.com/profile.php?id=10008975553897

Après que les M23 aient récupéré la cité de kitchanga dans le territoiredeMasisi, les groupes d’autodéfense APCLS de Janvier Karairi et NDC Rénové de Guidon SHIMWERAYI jurent de venir libérer Kitchanga. » Nous jurons venir libérer la terre des nos parents «  Ces deux groupes d’autodéfense viennent de reprendre les affrontements depuis 20h pour tenter de reconquérir Kitchanga qui est à présent aux mains du M23.  Signalons qu’un canal des négociations vient d’être ouvert entre la force de EAC et les terroristes RDF/M23 pour essayer d’épargner les affrontements dans la ville de Goma et le M23 exige à la force régionale de l’EAC de demander aux FARDC de quitter la ville de Goma et que cette dernière soit sous contrôle de EAC. Et maintenant les enchères seront plus élevées avec cette victoire, c’est ce qu’il fallait empêcher coûte que coûte mais dommage.   Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur lien Aimé et abonné vous  https://www.facebook.com/profile.php?id=10008975553897

Le bureau de l’administration du territoire de Masisi au Nord-Kivu. La situation reste toujours tendue à Kitshanga et ses environs, dans le territoire de Masisi, à plus de 80 Kilomètres au sud-ouest de la ville de Goma, après la prise de cette cité le jeudi 26 janvier par les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Des sources concordantes dans la région affirment que les détonations nourries à l’arme lourde sont entendues depuis ce matin vers le village de Burungu, où les rebelles ont délogé l’armée après trois jours de combats. Des sources officielles, sous couvert par d'anonymat, affirment que l’armée tente de réoccuper Burungu pour réorganiser un assaut sur Kitshanga. Dans cette cité, les rebelles du M23 ont mené patrouilles de ratissages toute la nuit de jeudi 26 janvier, aux alentours de la cité ainsi qu’à la base de la MONUSCO. Après, la chute de la cité de Kitshanga, aux environs de 18 heures locales, les rebelles auraient pris la direction de la cité Mwesso où ils auraien

Les Forces armées de la RDC s’affrontent une fois de plus, depuis tôt ce jeudi 26 janvier le matin, avec les rebelles les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda sur l’axe Kitshanga dans la chefferie de Bashali, territoire de Masisi, a plus de 80 kilomètres à l’ouest de Goma. Les FARDC maintiennent leur pression militaire sur l’ennemi en vue de le déloger de Nyakabingu, à 7 km de la cité de Kitshanga, informent des sources locales. Des combats se poursuivent également l’ennemi dans la région de Burungu, vers le sud, en direction du parc des Virunga. Les FARDC et les forces d’autodéfense résistent à une attaque du M23, depuis le mercredi 25 janvier. Cependant, la population de Kitshanga ayant trouvé refuge à la base de la MONUSCO depuis trois jours vit dans une situation humanitaire inquiétante. Elle ne parvient pas à sortir pour se trouver à manger à cause de l’intensité des combats, révèlent nos sources. La situation est identique pour les populations qui sont allées vers Mwesso, Kas

Bunia : panique totale au marché central. Des manifestants venus probablement de Iga Barrière (25km au nord de Bunia) réclament la «libération» de Vicky Ngona, porte-parole de G5-A, structure regroupant les «communautés victimes» des atrocités de la milice #Codeco. Pour le moment, on constate la fermeture des boutiques et magasins et la paralysie des activités économiques au marché de ville. Néanmoins des militaires PM sont déjà sur place pour essayer de rétablir l'ordre et la quiétude. Rappelons que dans un audio WhatsApp à notre possession, Vicky Ngona, relate avoir échappé à un enlèvement voire même «un assassinat» planifié par le gouverneur militaire de l'Ituri. Chose qui serait à la base de cette cette manifestation brusque. Signalons aussi que jusque là, rien ne prouve cet «emprisonnement» de cette personnalité publique. A suivre. Pour recevoir des informations a temps réel cliqué sur ce lien en vous abonnant https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Et sur

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Dix-huit personnes, dont 13 femmes, ont été blessées par les éclats d’une bombe qui a explosé ce mercredi 25 janvier dans un moulin au marché de la cellule Macampagne dans le quartier Kalinda, ville de Beni. Les victimes sont prises en charges dans les centres de santé Virunga, Prospérité et à l'hôpital général de Beni. Les éléments de la police ainsi que des experts du service de lutte antimines de la MONUSCO-UNMAS sont descendus sur le lieu afin d’identifier la nature de cet engin mortel. L’engin a été piégé dans un bassin de farine, selon Darces Kathembo, chef du quartier Kalinda : « Il y a quelqu’un qui est arrivé avec un sachet dans lequel il y avait une bombe dans un bassin. Après l’avoir donné à quelqu’un, la bombe a explosé au lieu même où il y a un moulin à farine au marché. Il y a des dégâts car les gens sont blessés. Après vérification nous voyons que c’est une bombe ». Compte tenu du fait que la région est sous menace de ce nouveau mode opératoire des rebelles des ADF,

🐆 La FECOFA vient de publier ses statuts révisés, dans lesquels on retrouve les différentes conditions à remplir afin de se présenter aux élections : 1. Être de nationalité congolaise 2. Résider sur le territoire congolais de manière permanente 3. Être âgé de 25 ans au minimum et jouir de toutes ses aptitudes mentales 4. Avoir précédemment été soit : - Membre du COMEX de la FECOFA - Membre d’un comité de gestion d’une ligue nationale ou provinciale ou d’une entité sub-délégataire - Membre d’un comité de gestion d’un groupement reconnu par la FECOFA - Avoir joué un rôle actif dans le football congolais pendant au moins 3 ans dans les 4 années précédant la date des élections en qualité de mécène, promoteur ou dirigeant d’une équipe ou d’un centre de formation de football. Les promoteurs doivent être affiliés à la FECOFA. - Avoir été entraîneur d’une sélection nationale, un arbitre international ayant officié au plus haut niveau des compétitions internationales, un médecin sportif ayant

🐆 La FECOFA vient de publier ses statuts révisés, dans lesquels on retrouve les différentes conditions à remplir afin de se présenter aux élections : 1. Être de nationalité congolaise 2. Résider sur le territoire congolais de manière permanente 3. Être âgé de 25 ans au minimum et jouir de toutes ses aptitudes mentales 4. Avoir précédemment été soit : - Membre du COMEX de la FECOFA - Membre d’un comité de gestion d’une ligue nationale ou provinciale ou d’une entité sub-délégataire - Membre d’un comité de gestion d’un groupement reconnu par la FECOFA - Avoir joué un rôle actif dans le football congolais pendant au moins 3 ans dans les 4 années précédant la date des élections en qualité de mécène, promoteur ou dirigeant d’une équipe ou d’un centre de formation de football. Les promoteurs doivent être affiliés à la FECOFA. - Avoir été entraîneur d’une sélection nationale, un arbitre international ayant officié au plus haut niveau des compétitions internationales, un médecin sportif ayant

Beni: Une bombe vient d'exploser dans le petit marché de macampagne à Boikene tout à l'heure, il ya quelques blessés pour recevoir plus d'informations veuillez aimé notre page Facebook https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Aussi sur : isinfiniment.blogspot.com

Des militaires basés dans la position de Kitatumba après échange avec la société de la société civile de Vulamba en ville commerciale de Butembo, le jeudi 22 décembre 2022. Ph. Patrick Kalungwana Les habitants des cellulesVuhiyi et Katende-Ngunza du quartier Congo ya Sika en commune Vulamba dans la ville commerciale de Butembo (Nord-Kivu) dénoncent les tracasseries qu’ils subissent actuellement de la part des militaires basés au cimetière de Kitatumba. Certains de ces habitants nous ont appelé pour ce fait ce mercredi 25 janvier 2023. Ceux-ci indiquent que pas plus tard que la soirée de lundi aux environs de 19h, des militaires ont fait irruption chez un habitant de Vuhiyi. Ces incontrôlés de l’armée congolaise ont emporté de l’argent, et autres biens de valeur. Une autre inquiétude de la population se situe au niveau des arrestations massives chaque jour dans leur quartier. Ils indiquent que tout portent à croire que les militaires n’accusent pas seulement la population de Mai-Mai plu

Les groupes armés règnent en maîtres dans plusieurs villages de l’Ituri, notamment dans le territoire de Djugu, alors que la province est toujours sous état de siège depuis près de 20 mois. Le week-end dernier, des affrontements entre les milices CODECO et Zaïre ont éclaté au village Mbalamuno, dans le secteur de Banyali Kilo, à 9 km de Mongbwalu-centre (territoire de Djugu). Les deux groupes armés se disputent le contrôle dudit village. Les échanges de tirs ont fait au moins trois morts. “Tout a commencé depuis le samedi, les CODECO sont arrivés pour mener leur patrouille, ce qui a choqué les miliciens de Zaïre qui ont ouvert le feu tuant un élément de CODECO et les autres se sont sauvés de justesse”, indique Asoga Banzala, chef du village Mabilindey. Après s'être réorganisés, les miliciens de CODECO sont une fois de plus revenus au village. “On ne comprend rien, les CODECO sont partis se réorganiser pour revenir et pendant leur réplique, un civil a été tué par balle et un parmi l

Il  est 9h53 à kitshanga. Les Résistants de l'auto défense viennent de mettre la main sur Un très grand espion des terroristes M23 RDF. Dans sa chambre on vient d'y rencontrer 10 armes AK-47 et plusieurs effets militaires de l'armée rwandaise RDF. Combat en coours Suivez-nous sur : https://www.facebook.com/profile.php?id=100089755538971 Aussi sur : isinfiniment.blogspot.com

Les militaires FARDC viennent de libérer 4 de 10 personnes prises en otage lors de le récente incursion des ADF à Makungwe, cette localité du groupement Isale-Kasongwere de la chefferie des Bashu en territoire de Beni. L’annonce est faite ce mardi 24 janvier 2023 par le porte-parole du secteur opérationnel SOKOLA 1 GRAND NORD. Dans une dépêche parvenue à Radio Elimu, La Voix de l’UOR, le Capitaine Anthony MUALUSHAYI explique que cette libération est le fruit des opérations de poursuite de l’ennemi que l’Armée a lancées juste après l’incursion meurtrière de Makungwe. « Leur libération, c’était au cours d’un affrontement entre l’Armée régulière et ces terroristes ce matin le long de la rivière TALIHYA. Les combats sont en cours pour l’instant » , a indiqué l’Officier militaire dans un message qu’il a fait à la presse vers 16 heures de ce mardi. « Tout laisse à croire que la guerre tourne à l’avantage de FARDC qui sont vraiment déterminées à venger les compatriotes tués mais aussi à anéan

Le mouvement citoyen lutte pour le changement (LUCHA) section de Beni, a commémoré le premier triste anniversaire de la mort du jeune Mumbere Ushindi Obadi, tué lors d’une manifestation contre l’état de siège à Beni au Nord-Kivu, en date du 24 janvier 2022. Une année après, la LUCHA regrette que la justice n’a jamais été rendue pour punir les auteurs de ce meurtre. La LUCHA accuse le maire de la ville policier, commissaire supérieur principal Muteba Kashale Narcisse et le commandant de la police en ville de Beni, commissaire supérieur principal Kahuma Lemba Sébastien comme auteurs intellectuels de ce meurtre et réclame qu’ils soient vite traduits en justice. ” Le maire Kashale a ordonné à son garde du corps à tirer sur notre frère Ushindi et à la veille, le commandant de la police avait déjà prémédité ce meurtre en disant que “celui qui va oser marcher, il doit d’abord regarder la photo de ses familiers parce qu’il ne va plus revenir. Certainement, notre camarade lorsqu’il est sorti de

Depuis 10h00 la matinée de ce mardi 23 janvier,2023 les forces loyalistes ont libérés la localité stratégique de Kishishe qui était occupée par les terroistes du M23 après avoir massacrer plus de 270 personnes après Kishishe les forces loyalistes ont progressés vers. KATALO plus Bambu centre où les M23 ont étés délogés vers 16h. Sauf changement demain les forces de l'ordre seront à Kabizo et Mabenga pour corriger l'agresseur qui est Dans la position de faiblesse. Sauf nous rappelons que dans moins de 6h du temps 70% du groupement de Bambu a été libéré aux mains  des RDF après perte énorme côté ennemi. *2.* *KITSHANGA* Depuis la mâtiné de ce mardi 23/01 les DÉTONATIONS en armes lourdes ont étés ressentis aux périphérique de Kitshanga cette situation à causer le déplacement massifs de la population de Kitshanga vers Masisi.  Jusqu'à présent nous sommes 19h00 les Fardc contrôlent Kitshanga  L'ennemi étant aux périphérique de Kitshanga nous demandons la population à la vigi